† Amélia Maeda †
Messages : 3 Date d'inscription : 15/11/2011 Age : 31 Localisation : En haut d'une tour à siffler de la vodka en attendant le retour de son Prince
| Sujet: Sa royalissime personne Amélia Maeda !!! Sam 17 Déc - 12:44 | |
| Amélia Maeda Personnage prédéfini: Oui [] Non [X] |
Âge : On ne demande pas l'âge d'une dame
Date de Naissance : Un 31 Mai
Nationnalité : Roumaine
Sexe : C'est assez évident!
Orientation sexuelle : Hétéro mais ne serais pas contre d'autres expériences....ben quoi!!
Groupe : Eole.....les méchants ont toujours la classe
Profession : Assassin
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DESCRIPTIONS Physique : ( 8 lignes minimum )
Amélia possède des longs cheveux noirs qu'elle laisse tomber le long de ses fesses, qui en tant normal sont très lisse, ils ondulent à vrai dire à cause du "magnifique" temps humide de la belle Angleterre. Elle a la peau d'un blanc très nacré qui à peine au soleil, lui la fait rougir et à des yeux d'un gris-bleu très clair qui parait vert d'eau à la lumière. Elle possède de nombreux tatouages, les seuls visibles sont dans son cou à gauche et une marque à la joue, qui n'est pas comme on pourrait le croire un tatouage, mais une brulure faite au fer. Quand elle se bat elle porte le plus souvent une tenue de pirate, composé d'une chemise en flanelle rougeâtre, de dentelle au niveau de ses bras et d'une d'une jupe noire toute aussi fine avec des bottes sombres. Quand elle est en civile elle porte un simple pantalon en toile noire, assorti à une chemise sans manche à ton mauve. A part ses deux pistolets dont elle se sert très rarement elle porte un Katana qu'elle tient de sa mère, accroché à sa ceinture, le manche ainsi que le fourreau son bleu clair, mais la lame est noire.
Particularités : ( ce qui le différencie des autres )
Amélia possède un Once de cinq mois que son grand-père lui a offert, nommé Sagar. Elle lui a donné ce prénom car il vient du pays d'origine de son petit protégé, le Népal.
Caractère : ( 8 lignes minimum )
Amélia ne fait confiance à personne, même pas en elle-même ce qui fait qu'elle est très suspicieuse de nature et surtout sarcastique. Elle a un caractère et un langage infect et prend un malin plaisir à insulter son interlocuteur, elle se comporte très mal en société et très peu de choses trouvent grâce à ses yeux, le numéro un étant une bonne bouteille de vin. Pour elle les êtres humain ne sont que des vers rampant à terre, dont elle se fait une immense joie d'écraser. Certaines personnes diront qu'elle n'est qu'une psychopathe, mais elle rétorquera simplement qu'elle est seulement une sociopathe, squizo, à tendance misanthrope. Mais Amélia n'a pas que des mauvaise qualité, elle est d'une ténacité à toute épreuve et est très méticuleuse surtout pour son travail. Elle a un esprit très vif et brille dans tout ce qui touche la stratégie, elle est observatrice et aime garder tout sous son contrôle, mais elle n'aime pas au contraire être prise de court, le seul être à qui elle témoigne un tant soit peu d'intérêt est Sagar.
HISTOIRE
Histoire : ( 15 lignes minimum )
Toutes les histoires que l'on raconte principalement aux petites filles pour qu'elles puissent s'endormir sont fausse, du moins pour moi. Aucune fée ou autre farfadet ne s'est jamais penché au-dessus de mon berceau pour me donner je ne sais quel don merveilleux, non je dirais même qu'elles sont parties en courant sans demander leur reste. Durant le début de mon existence je vivais avec mon "père", ma mère et mes deux frères dans le château de Bran situé à trente kilomètres de Brasov à Ardeal, un magnifique endroit vieux de cinq siècles entourés d'une épaisse forêt. Cette demeure fut tristement connue grâce au déboire de mon ancêtre Vlad III Basarab, certains aimaient dire qu'il était un vampire, tout ça parce qu'il aurait systématiquement fait écorcher, bouillir, décapiter, aveugler, étrangler, pendre, brûler, frire, clouer, enterrer vivants, mutiler atrocement et empaler tous ses contradicteurs. Ce ne sont que des fabulations il a fait bien pire, il y a encore des restes de son passage au niveau du col de Tihuta une vraie boucherie. La demeure était malgré tout d'un calme reposant et le froid hivernal qui régnait toute l'année faisait mon bonheur surtout pendant l'hiver où tous les arbres perdaient leurs feuilles et se voyaient recouvert d'une épaisse couche de neige d'un blanc le plus pur. Mais malgré ce lieu enchanteur où pour tout le monde je vivais une vie doré, j'eus une enfance atypique. Ma tête n'avait jamais plus à mon géniteur, sûrement parce que je ressemblais trait pour trait, à ce père qu'il haïssait, alors dans son humble gentillesse il m'avait enfermé à l'écart de ma famille et de la civilisation dans une partie inhabitée du château. Ma mère ne sut jamais mon existence, mon très cher papa lui avait dit que j'étais morte à la naissance, je fus alors élevé par une nourrice très charmante, Diana, qui m'inculqua les bonnes manières. Ces années fut rythmé par les cours qu'elle me donnait, grâce à une mémoire eidétique j'appris très facilement le charme de l'écriture, la subtilité de la philosophie, le langage de la musique et surtout la beauté des arts.
Je pense d'ailleurs que j'ai oublié de vous préciser que ma famille faisait partie de la famille royale de Roumanie et que Ardeal était la principauté de Transylvanie, enfin ça c'était avant, car sept ans plus tard la vieille de ce rite païen qu'est Noël. Ces idiots organisèrent une fête, plus de trois-cents personnes, dans l'aile Ouest du domaine, ils ont tous crevé. C'est de leur faute à avoir autant d'ennemi, des hommes armés ont fait explosé les immenses vitres de la salle, la déflagration a été tellement forte que le lustre en cristal est tombé sur les invités, au moins ils n'ont pas fait les choses à moitié, tous parti en fumé et ils ont même brûlé tout le domaine un vrai feu d'artifice, très jolie à voir d'ailleurs. Enfin moi j'ai eu chaud aux fesses et grâce au sacrifice si larmoyant de cette imbécile de nurse qui m'a fait sortir par un tunnel secret qui menait de la fontaine du jardin intérieur à la base du château, je m'en suis sorti avec quelques égratignures. Je me rappelle avoir erré dans le village la faim au ventre moi qui étais habitué à être nourri à heure fixe et au confort de ma suite c'était un dépaysement total, mais après deux jours je m'étais fait l'idée que je devrais voler pour survivre. Je repérai un noble qui regardait avec dédain les villageois et qui traînait à sa suite un domestique qui baisait la tête en signe de servitude. Je m'approchai doucement et longea une charrette deux fois plus grande que moi chargé de foin et tendit la main, mais alors que j'étais à deux doigts de prendre la bourse à ce vieux bourgeois tout gras. Celui-ci m'avait pris le poignet avant que je ne puisse prendre mon butin, mais les images qui défilèrent dès l'instant où il me toucha me faillirent rendre mon repas. Des meurtres, des viols, des tortures toutes ses visions de cauchemar me firent monter les larmes aux yeux et je réussis à m'échapper en le mordant à la main.Je courus pendant plusieurs minutes qui semblèrent duré des heures et me dissimula dans la forêt qui m'avait protégé tant de fois, on aurait dit qu'elle avait une âme et qu'elle abritait ce qui était dans le besoin.
Cette expérience je la réitérais un bon nombre de fois, j'ai vite compris que l'être humain n'était qu'un fou orgueilleux qui ne méritait rien d'autres châtiments que la mort. Aucun adultes ne voulurent croire à mon histoire ils me tournèrent tout le dos, me regardant de haut comme si je n'étais rien d'autre que de la vermine, qui ne racontait que des calomnies contre les honnêtes gens, alors je décidais de faire justice moi-même, un accident est si vite arrivé comme on dit. Cette malédiction qui me permettait de pénétrer dans l'esprit humain marché aussi sur les animaux mais d'une manière différente j'arrivais à comprendre ce qu'ils pensaient et eux à leur tour me comprenaient, ils furent ma seule compagnie. C'est pour cela que grâce à ma petite taille je réussis à glisser sans un bruit dans la demeure de cet abruti de vieux bourgeois une vipère d'Orsini tranquillement enroulée autour de mon cou, le chien qui gardait la porte de derrière ne me causa aucun ennui et passa tranquillement le corridor jusqu'à l'escalier. Arriver devant la porte de la chambre je l'ouvris dans un léger grincement et me posta devant le lit un petit sourire ornant mes lèvres, je pris ma chère amie et la mise dans le lit de ce vieux bourgeois sans que celle-ci ne me morde, le pauvre homme avait une phobie des serpents et son vieux coeur avait du mal à tenir le choc. Le lendemain on le trouva raide mort, crise cardiaque et il ne fut pas le seul.
Quatre petites années plus tard le village était désert, la populace avait fui tel des chiens la queue entre les jambes, moi j'avais une vie de palace et l'argent nécessaire pour continuer ma croisade. J'avais à l'époque je pense littéralement perdu la tête, la seule chose qui calmait cette voix au fond de moi était le sang, j'avais acquis une deuxième personnalité, si vous pensez que je suis folle, attendez de la voir. Enfin toutes les bonnes choses ont une fin, alors que je regardais le dernier bandit attrapé se faire dévorer tout cru par les loups, je me retrouvais dans un sac qui empestait le renfermé. Je ne suis que quelques temps après qui était mon ravisseur, il me ressemblait étrangement enfin avec beaucoup de rides en plus, c'était mon grand-père paternel Sélian. Ce vioc m'éleva du mieux qu'il put et m'enseigna tout ce qu'il savait, l'art de la guerre, les sciences, la stratégie et surtout les poisons. C'était un pirate craint des océans et m'embarqua dans ses aventures aux quatre coins du globe, il me fit voir des choses qui me laissèrent sans voix, le temple d'Artémis à Ephèse, les jardins suspendus de Babylone, les ruines oubliés de la Petra à Arabah. Le voyage qui retint le plus mon attention ne fut pas le lieu qui était magnifique en lui-même, mais la musique. En ce mercredi Saint, Sélian m'emmena à la Chapelle Sixtine au Vatican pour écouter les chants, je dus écouter tous ces drôles de bonhomme parler un très long moment je crois même que je me suis endormis. Alors que l'office terminé enfin et que tous les cierges étaient progressivement éteint nous plongeant dans les ténèbres, les chanteurs de la Chapelle improvisèrent un somptueux ornement sur le faux-bourdon. Le Miserere Mei Deus fut une des rares choses, qui je dois l'avouer ma fait pleurer même encore aujourd'hui, on aurait dit que leur parole bercé notre âme et soulagé notre peine, pour ma part c'est ce que j'y ai ressenti.
Mais au bout de compte lassé de toute cette flotte et de l'agitation constante qu'imposaient les voyages il me déposa à ma demande sur la première terre qui croiserait notre chemin. Nous venions de quitter l'Himalaya, si belle où mon grand-père m'avait offert un petit once et nous voilà, moi avec des habits pas vraiment adéquats pour la saison, un sac sur l'épaule et mon petit Sagar trottinant derrière moi la fourrure au vent, devant ce pays de malade, l'Angleterre.
Famille:
A la mort de ses parents elle vécut pendant près de quatre années dans la rue où elle se forgea une funeste réputation, elle dut son salut qu'à l'intervention de son Grand-père paternel Sélian qui l'a pris sous son aile. Mais il lui reste tout de même un de ses oncles et ses deux frères.
......
Pouvoirs : ( pour ceux qui en ont )
Ce n'est pas à proprement parlé un pouvoir, mais plutôt un don, Amélia possède une empathie très élevée qui fait que dès qu'elle touche un être vivant elle peut voir son passé et fouillé le moindre recoin de son esprit. Mais à cause d'une enfance difficile son don c'est très mal développé et la fait horriblement souffrir, au lieu de voir l'intégralité d'un individu elle ne voit que ses actions fielleuses et cruels
Test RPG
- Spoiler:
PS: C'est quelques ligne n'ont rien à voir avec le forum, juste le prologue d'une histoire que j'ai écrite. Aucun son ne venait perturber le silence de mort qui régnait dans le monde des Shinigamis, sauf quelques bruits d'os qui s'entrechoquaient et les lamentations d'un des occupants de ce monde qui ne cessait de hurler que son voisin d'en face avait triché, en bougeant le crâne avec son pied. Maleck regarda ses congénères d'un regard lasse, ils ne cessaient de se battre comme des roturiers cela faisait au moins cinq ou six fois qu'ils en venaient aux mains. Mais au moins ils avaient le mérite de les distraire un tant soit peu, ce qui était rare dans ce monde, alors qu'il resserrait les pans de son manteau miteux sur ses épaules décharnés les bruits de la querelle cessèrent d'un seul coup. Surpris il leva mollement la tête et vit ses deux congénères figés, ils fixaient avec fascination et crainte ce qu'ils se trouvaient derrière lui. Maleck tourna lentement la tête et ses yeux vide de toute émotions s'ouvrir tellement qu'on aurait cru qu'ils allaient lui sortir de ses orbites. Derrière lui se tenait quatre cavaliers encapuchonné, le premier en partant de la gauche montait un cheval rouge sang et avait une épée de la même couleur à main droite. Le second un cheval noir comme les ténèbres environnant et avait une balance qui dépassait de sa cape, le troisième montait un magnifique cheval blanc, qui semblait être fait du blanc le plus pur et on pouvait apercevoir une couronne d'or caché par sa capuche au niveau de son front. Et le dernier qui était resté en retrait derrière ses compagnons les devança légèrement, sa monture était la plus étrange elle était verdâtre, comme si l'animal se décomposait et comme ses trois comparses il avait un objet sur lui enfin plutôt une arme, une grande faux noir était attaché à son dos. Le cavalier voyant que quelqu'un le dévisagé leva quelque peu la tête, Maleck ne put voir son visage, mais il aperçut des mèches blanches qui encadraient son visage cachant alors une grande partie de celui-ci. Ses cheveux devaient au moins atteindre ses épaules. Mais le cavalier ne regarda le Shinigami que quelques secondes, il tira d'un coup sec sur la bride du cheval et l'animal funeste avança et d'un même homme les quatre cavaliers franchirent le passage vers le monde des humains. Maleck les regarda et il se mit à plaindre les humains, les quatre cavaliers de l'apocalypse alliaient marcher sur terre et cela promettait de ne pas être très joli à voir.
VOUS ?
Pseudo/Surnom: Alia ou ma Noble Personne
Age: Bon d'accord j'ai 18 ans.....Eh non Tenshi je ne suis pas vieille !!!
Comment avez-vous trouvé le forum: Recrutée par des Gnomes au détour d'un couloir
Niveau RP:Pas la moindre idée
Que pensez-vous du forum: Très sympathique espère trouver de nouveau Larbin....Euh je veux dire disciples ^^
Remarques/Idées: Plus de courbettes pour ma Noble Personne
Codes: Code validé par Angie
Dernière édition par Amélia Maeda le Ven 20 Jan - 20:02, édité 2 fois |
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† Arthur Bougainville †
Messages : 123 Date d'inscription : 01/11/2011 Localisation : cloîtré dans son logis avec Elliot dans ses pattes =___=
| Sujet: Re: Sa royalissime personne Amélia Maeda !!! Sam 17 Déc - 13:42 | |
| ca commence à faire beaucoup de royales personnes ici U_U Enfin bref, bienvenue ^^
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† Angela Kyumi †co-fondatrice
Messages : 193 Date d'inscription : 10/06/2011 Age : 29 Localisation : La ou le vent me porte ~~~~
| Sujet: Re: Sa royalissime personne Amélia Maeda !!! Dim 18 Déc - 10:19 | |
| Ohé, ohé; Bienvenu Dans ce monde Amélia ^^, bon début de fiche, n'oublis pas d'aller lire le règlement afin de trouver le code bien caché mouhahaha 8D et bonne chance pour la fin de ta fiche ^^. |
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† Nielle Naring †co-fondatrice
Messages : 68 Date d'inscription : 27/10/2011 Localisation : Quelque part dans le noir
| Sujet: Re: Sa royalissime personne Amélia Maeda !!! Sam 21 Jan - 14:11 | |
| Voilà, tout est mis, je te valide donc, bienvenue parmi nous et au plaisir de rp avec toi ! |
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