J’étais partie me balader, errée dans les bois encore désert à une heure pareille, d’ailleurs ils étaient toujours désert, jamais personne n’osait venir s’aventurer ici, les gens étaient bien trop peureux. La réputation de cette foret n’était plus à faire, bien connu sous le nom de « foret des enfers » par les plus riches il n’y avait de cela encore pas si longtemps. Depuis les temps avaient changé, les brigands en tous genre avaient fait leur apparition pour le plus malheur des bourgeois de la région. Je venais souvent en ce lieux, pour réfléchir, m’aérer un peut le cerveau, quoi que… Il n’y avait pas grand-chose à aérer, il n’était déjà pas si remplie que ça.

Je ne venais pas dans ce lieux interdit pour les plus jeune n’importe quand, mais après une dispute avec les parents, ces gens qui vous disent vous vouloirs que du bien mais au final qui ne vous apporte que souffrance, souffrance que je n’avais pas besoin pour ne pas me plaire dans cette vie qui s’offrait à moi, une vie que je n’avais nullement choisie mais que l’on m’avait obligé. Foutu nom de famille, je ne pouvais pas venir d’une famille bien plus modeste non ? Une famille qui n’avait pas à subir toute ses futilités de la haute société, non le sort s’acharnait sur moi, entre ma sœur et ma famille je n’étais pas gâté.
Ma sœur, une petite énergumène de seize ans passé, seulement deux ans nous séparer mais c’était assez pour qu’elle me sorte par les oreilles, toujours avec sa gentille avec les parents, surtout notre mère… Enfin je disais ça mais au fond je savais pertinemment qu’elle n’était pas horrible que ça, juste son comportement qui était enfantin, voir gamin quand cette dernière commençait à faire des crises pour des raisons que je ne cherchais pas à comprendre vu qu’elle ne m’intéressait pas le moins du monde, elle avait sa vie et moi la mienne.

Je ne portais pas beaucoup d’amour à mes parents est cela amenait à pas mal de conflit, la preuve encore un venait d’éclater, la raison ? Plus que simple et débile, je cite « le manque d’affection que tu portes à ta sœur est intolérable »… Mais bien sur mère… Et pourquoi donc aimer une enfant qui est le total opposer de ma personnalité, pourquoi aimer une enfant qui a vécu un long moment avec père tandis que moi je ne le voyais pas ? Pourquoi aimer cette fille ?
J’étais donc partie légèrement, oui juste légèrement énervé du manoir, marchant à vive allure à travers les sentiers boueux du matin, rendu humide par la rosée matinal et les vives pluies qui étaient tombé ses derniers jours. Je marchais à travers des flaques, ne voulant pas salir mes jolies choisir noir à talon et ne pas tomber.

L’air était frais, le ciel dégagé de tous nuages, les oiseaux commencé leur douce mélodies et les branches des arbres volaient au rythme du vent, qui allait et venait comme une douce chanson. J’étais au milieux, trouvant enfin, après de longue minutes de marche rapide l’entré de la foret, l’air devenait un peut plus humide mais peur m’importais, au moins là bas j’étais tranquille, personne ne venait ici pour mon plus grand bonheur.
Pendant mon chemin j’avais crus entendre une voie m’appeler, sans doute mon imagination, mais je ne me retournais pas, traçant ma route toujours à la même vitesse, que cette voie sorte de ma tête, cette vois qui ressemblais étrangement à celle de ma sœur. De toute manière, même si elle me suivait, et j’en doutais fort, elle aurait bien trop peur de s’aventurer dans cette foret. Mère ou « maman » comme elle l’appelait de temps en temps l’avait interdit alors madame la petite sœur ne désobéirai jamais à de telle ordre.
A la voir comme ça, Gabi ressemblait à une parfaite petite fille de bonne famille, de jolie robe toujours bien taillé et longue, les bonnes manières, sans parler de son sourire puritain qui faisait craquer tous le monde, les plus âgés comme les plus jeunes…
Je marchais toujours, essayant tant bien que mal d’enlever le son de sa voie de ma tête, mais je n’y arrivais pas, je ne me retournais pas pensant que non, ce n’était pas elle.

Je passais toujours pour la méchante, celle qui ne fallait surtout pas copier, un monstre sans cœur qui ne pensait qu’à jouer. Ne me ressemble surtout pas petite sœur, non jamais elle ne devait me ressemblait, je ne lui portais peut être que peut d’amour mais ses fait et geste m’inquiétaient bien plus que ce que je voulais faire croire. Elle était ma sœur tout de même, alors je me devais de la protéger si besoin, je restais pourtant bien en retrait, mère l’avait bien assez briffé à mon sujet, elle avait sans doute pas tord de l’avoir fait et je ne pouvais la blâmer, il était sûr que mon comportement n’était pas des plus favorable, mais c’était mon comportement et il me convenait parfaitement. Mère, si tu savais ce que je pouvais en faire de toutes les paroles et sermon que tu pouvais me dire, je m’en fichais bien, tous cela me passait par-dessus la tête et bien haut.
J’étais la fille à problème, la petite Kyumi qui faisait tous pour ce faire remarquer, mais non, je ne cherchais pas spécialement sa, bien au contraire, je cherchais une toute autre chose, pourrir les idées des gens vis-à-vis de mon père, de ma mère, de ma famille en général. Pourquoi une telle chose ? Je ne savais, pour les remercier de m’avoir mise au monde je le craignais.

Je n’avais pas rêvé, ma sœur me suivait bien, elle devait s’être trouvé en ce lieu par hasard, elle ne m’appréciait guère et me suivre je ne le pensais pas, cet acte ne lui correspondait pas. Je ne me retournais pas, faisant semblant de ne pas l’avoir entendue, voyant que je m’intéressais pas à elle, elle allait sans doute me laisser tranquille. Sa compagnie je n’en voulais point en ce moment, je voulais juste être seul, à réfléchir, loin du manoir ou il y avait bien trop de monde à mon gout. Là-bas j’étais dérangée toute les deux minutes, je n’avais pas une minutes pour moi, non jamais quand ce n’était pas ma mère une autre personne venait, souvent pour m’annoncer une stupide réunion ou m’apportais du travail que je ne faisais que très rarement.
Je continuais donc à marcher, mais la petite était vraiment insistante, elle continuait de parler, je pouvais entendre ses pas ce rapprocher de moi, elle courait en ma direction mais je ne lui portais pas plus d’intention que ça.

-Pourquoi tu viens là, j’ai peur ! Voulez te suivre et tu es venues là, je t’ais suivi car j’avais peur pour toi. Je veux rentrer à la maison, cet endroit est pas bien y à plein de méchant ici.

Oui, j’allais y croire Gabi, je savais à quel point tu pouvais être une très bonne comédienne, d’ailleurs à sa place je penserais sérieusement à en vivre. Je détournais rapidement mon regard sur cette dernière qui venait de me sauter dessus dans tous les sens du terme, ses paroles étaient de larme. Il n’y avait vraiment rien à dire, dans le rôle de comédienne elle était vraiment parfaite, rare étaient les gens qui pouvaient inventer de tel larme, mais je la connaissais la petite, toujours en train de ce prendre pour plus bête et intéresser que ce qu’elle était vraiment. Des méchants ici ? La preuve j’étais dans cette forêt sombre, me suivre ? Je savais pertinemment que ce n’était que mensonge, rentré ? Mais qu’elle rentre, je n’allais pas la supplier de rester, qu’elle rentre, cela m’arrangerais grandement, ainsi je serais au calme, plus te compagnie immature et irritable.

-Je sais à quel point tu peux être menteuse, le cout de la petite inquiète ne marche pas avec moi, je vais ne pas te demander de rester bien au contraire. Mère ne t’a telle pas dit de rester loin de moi et surtout de cette forêt ?

Elle continuais de parler, les larme toujours aux yeux, quand allait-elle cesser de faire la gamine ? Son rôle de bonne petite fille me lasser, on n’était pas à la maison, elle pouvait arrêter de jouer, je connaissais bien plus qu’elle ne pouvait penser son vrai comportement, sa vrai personnalité était pas forcément mieux que la mienne, la différence ce trouvait seulement dans ce que l’on laisser paraitre, Gabi jouait un double jeu, tandis que moi, je ne me cacher nullement.

- Grande Sœur ce n’est pas bien de venir ici, on va se faire attaquer. Vite on rentre à la maison avant que des méchants viennent !

Pourquoi m’avait elle suivie dans ce cas ? Elle qui faisait tous pour brosser mère dans le sens du poil, elle avait osé lui désobéir, mais qu’elle petite imbécile faisait elle. Je ne voulais pas rentrer à la maison, je n’étais pas venu ici, pour faire demi-tour seulement quelques minutes après mon arriver, en revanche me débarrassait de mon adorable petite sœur que je chérissais plus que tous me convenait assez. Je ne voulais pas l’avoir dans les pattes, j’enlevais avec peu de douceur le bras avec lequel elle jouait toujours, mon corps n’était pas fait pour qu’elle joue avec, cela était réservé pour des personnes bien plus âgée avec qui je pouvais passer un peut de temps quand bon me semblais. Mais pas Gabi, je mettais se dernier le long de mon corps, marchant un peut plus vite pour e défaire de l’emprise le ma sœur.

-Tu n’as rien à faire ici, rentre tous de suite au lieu de venir me faire chier…

Je n’y aller pas par quatre chemin, mon manque de tact était peut sympathique, je n’aimais pas forcément parler ainsi à Gabi, mais je ne tenais pas à me faire égueuler par sa faute alors que je n’y étais pour rien, pour une fois.